Professeure ordinaire à l’UCLouvain, Faculté de droit et de criminologie,
Doyenne de la Faculté de droit et de criminologie,
Présidente honoraire de l’Institut pour la recherche interdisciplinaire en sciences juridiques,
Membre de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique

Docteure en droit. Professeur aux Facultés de droit, de médecine et de santé publique de l’Université catholique de Louvain. Directrice du Centre de droit médical et biomédical. Présidente du Groupe de référence institutionnelle en matière de bioéthique (U.C.L.).
Professeur invitée à l’Université Paris-Descartes. Conférencière du Collège Belgique. Membre du Comité consultatif de Bioéthique de Belgique. Présidente de la Commission fédérale Droits du patient. Présidente du Conseil d’administration du Fonds des accidents médicaux. Membre du Conseil scientifique de l’Institut Suisse de Droit Comparé (Lausanne).

 

Ancien Recteur, Université de Genève

Né à Genève le 12 août 1946, Jean-Dominique Vassalli a obtenu son diplôme fédéral de médecin à l’Université de Genève en 1972, son doctorat ès sciences (PhD) à la Rockefeller University en 1977 puis son doctorat en médecine à l’Université de Genève en 1984. En 1991, Jean-Dominique Vassalli est nommé vice-doyen de la Faculté de médecine, charge qu'il assume jusqu'en 1999. Il est nommé vice-recteur de l'Université de Genève. Il occupera cette fonction jusqu'en 2003. Il  a notamment été chargé des dossiers relatifs à la collaboration Vaud-Genève et à la valorisation des découvertes scientifiques. De 2004 au 14 juillet 2007, il préside la Section de médecine fondamentale de la Faculté de médecine.

Maître d'Enseignement et de Recherche, EH2, Université de Genève, Professeur

Après mes études universitaires à Fribourg, j'ai obtenu mon doctorat en philosophie à l'Université de Genève. Ma thèse, consacrée à la pensée de Maine de Biran, a obtenu le Prix Rivier de l'Université de Lausanne (1981). Par la suite, j'ai été membre du CNRS (Paris) de 1980 à 1996, ainsi que du comité de rédaction des Œuvres de Maine de Biran (Paris, Vrin). J'ai poursuivi mes recherches sur la philosophie française des XVIIIe et XIXe siècles mais, parallèlement, je me suis intéressé à l'éthique fondamentale et aux rapports entre philosophie et médecine, notamment à la bioéthique. J'ai enseigné ces matières à l'Institut Éthique Histoire Humanités (anciennement Institut d'éthique biomédicale) et au Département de philosophie de l'Université de Genève jusqu'en 2014.
J'ai été président de la Société suisse de philosophie et membre de son comité de 1983 à 1997, et rédacteur de Studia philosophica de 1994 à 2005. Au printemps 2004, j'ai occupé la chaire municipale d'éthique à l'Université de Grenoble. J'ai siégé dans diverses commissions d'éthique, dont la Commission fédérale d'éthique pour les biotechnologies dans le domaine non humain (CENH, Suisse) entre 2002 et 2014, et le Comité d'éthique de l'Inserm (CEI, France) depuis 2013.

Directeur du Laboratoire de neurosciences cognitives à l'Institut Fédéral Suisse de Technologie (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne).

Olaf Blanke est directeur du Laboratoire de neurosciences cognitives à l'Institut Fédéral Suisse de Technologie (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne; www.lnco.epfl.ch) et consultant en neurologie au Département de neurologie des Hôpitaux Universitaires de Genève. Il est l’un des pionniers de l'étude neuroscientifique de la conscience de soi et de la subjectivité humaine en utilisant un large éventail de méthodes telles que la neuropsychologie et l'électrophysiologie de la conscience de soi dans la maladie neurologique ainsi que l'imagerie cérébrale chez des sujets sains. Son principal intérêt à l'heure actuelle est le développement d'une théorie axée sur les données neuroscientifiques de la conscience de soi et de la subjectivité. Une autre ligne de recherche concerne l'équilibre et la perception du corps, et leur application à l'ingénierie des technologies telles que la réalité virtuelle, la robotique et la neuro-réhabilitation.

Directeur du Centre d'études humanitaires de Genève et Professeur en santé publique humanitaire à la Faculté de médecine de l'Université de Genève.

Directeur du Laboratoire Neuroscience Paris Seine à l'Institut de Biologie Paris Seine (Campus Pierre et Marie Curie, Sorbonne Université)

Les travaux de recherche d’Hervé Chneiweiss portent sur la biologie d’une population particulière de cellules du système nerveux, les astrocytes, principale population des cellules gliales, ainsi que sur l’origine et le développement des tumeurs cérébrales L’implication des cellules gliales dans le traitement de l'information nerveuse a été longtemps négligée. Les astrocytes constituent la moitié des cellules cérébrales et remplissent de nombreuses fonctions, depuis la mise en place de l’architecture du cerveau jusqu’au fonctionnement, à chaque instant, des communications entre neurones. De plus, certains astrocytes forment les cellules souches cérébrales adultes et la plupart des maladies dites neurologiques sont en fait liées à une altération de la fonction astrocytaire.
Les travaux d’Hervé Chneiweiss ont permis de caractériser, sur différentes populations d’astrocytes du système nerveux central, de nombreux récepteurs et leurs effecteurs intracellulaires, second messagers et protéines cibles nouvellement identifiées comme la Stathmin ou PEA-15, et de décrire leurs fonctions dans la protection comme la mort programmée (apoptose), l’entrée dans le cycle cellulaire ou une motilité inappropriée. Plus récemment, avec ses collaborateurs, Hervé Chneiweiss a étudié les mécanismes liant l’astrocyte à la genèse et au développement des tumeurs cérébrales. Ils ont montré que la surexpression de certains facteurs de croissance, tel le TGFalpha agissant via l’Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR), provoque un trouble de la différenciation cellulaire qui rend la cellule sensible à la transformation tumorale. Dès 2002, ils ont caractérisé, au sein de tumeurs cérébrales humaines de l’enfant et de l’adulte, des cellules souches tumorales, dont l’analyse pourrait permettre de développer de nouvelles stratégies thérapeutiques anticancéreuses.
C’est dans les années 1990 qu’Hervé Chneiweiss s’immerge pleinement dans les questions éthiques, en tant que consultant en neurogénétique à la Salpêtrière, dans le service d’Yves Agid. Passionné par les questions que posent les progrès de la recherche, Hervé Chneiweiss, il est le président du comité d'éthique de l'INSERM depuis mars 2013.  Il a également été nommé membre du comité consultatif national d’éthique (CCNE). Il tient une chronique de bioéthique dans la revue médecine/sciences, dont il a été le rédacteur en chef de 2006 à 2016.

Professeur Associé d'économie politique à la London School of Economics (LSE).

Le Dr Costa-Font travaille à la LSE en tant que professeur associé (Reader) d'économie politique au sein du département de politique sociale et de l'Institut européen. Joan a occupé divers postes de visite et de recherche à l'Université de Harvard, au Boston College, à l'Université d'Oxford et à l'Université de Munich, entre autres universités. Ses principales recherches et son enseignement portent sur des questions liées (i) à l'économie de la politique sociale et (ii) à l'économie politique (y compris le choix public et l'analyse économique sociale) des programmes et institutions sociaux. En dehors de la LSE, il est affilié au CESIfo et au Health Econometrics and Data group.

Directeur de l'Institut de Santé Globale de l'Université de Genève

Antoine Flahault est médecin, docteur en biomathématiques. Il a été nommé professeur titulaire de santé publique en 2002. Il a été directeur fondateur de l'École française de santé publique (EHESP, Rennes, 2007-2012), co-directeur du Centre Virchow-Villermé pour la santé publique Paris-Berlin (Université Descartes, Sorbonne Paris Cité), co-directeur de l'European Academic Global Health Alliance (EAGHA) et président de l'Agency for Public Health Education Accreditation (APHEA).
Il a mené des recherches sur la modélisation mathématique des maladies transmissibles, présidé le centre collaboratif de l'OMS pour la surveillance électronique des maladies et coordonné des recherches sur le Chikungunya dans l'océan Indien (Prix Inserm, 2006 ; a été commissaire scientifique d'une grande exposition Epidemik, la Cité des Sciences et de l'Industrie (Paris, Rio et Sao Paulo)). En janvier 2014, il a été nommé professeur de santé publique à la Faculté de médecine de l'Université de Genève où il est le directeur fondateur de l'Institut de santé globale. Il a été élu membre correspondant à l'Académie Nationale de Médecine (Paris). En janvier 2014, il avait plus de 235 publications scientifiques référencées dans Medline.

Juriste spécialisée en droit de la santé et du vivant

Ua Gudnadottir est titulaire d'un Bachelor en médecine, d'un Bachelor en droit et d'un Master interdisciplinaire en droit du vivant de l'Université de Genève. Ses recherches actuelles portent principalement sur la procréation médicalement assistée.

Professeur de sociologie et titulaire de la chaire de technologie et de diversité à l'université RWTH Aachen University, Allemagne

Torsten H. Voigt est professeur de sociologie et titulaire d'une chaire de technologie et de diversité à l'université RWTH Aachen University en Allemagne . Il est également membre du comité scientifique des études scientifiques du ministère allemand de l'éducation et de la recherche.

Directrice de l’Institut Ethique, Histoire, Humanités (IEH2), Université de Genève

Samia Hurst est bioéthicienne et médecin, consultante du Conseil d’éthique clinique des HUG, responsable de l’Unité d’éthique clinique du CHUV, et directrice de l’Institut Ethique, Histoire, Humanités (IEH2) à la Faculté de médecine de Genève. Ancienne présidente de la Société Suisse d’Ethique Biomédicale, elle en édite la revue Bioethica Forum. Elle est également membre du Comité exécutif du CIOMS, du Ethical Legal Social Issues advisory group du Swiss Personalised Health Network et de la Commission nationale d’éthique dans le domaine de la médecine humaine.

Directrice du Centre de Génomique et Politiques de l'Université McGill ainsi que chercheure associée au Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal

Bartha Maria Knoppers est Directrice du Centre de Génomique et Politiques de l'Université McGill ainsi que chercheure associée au Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal. Mme Knoppers travaille plus particulièrement dans le domaine du droit et de l'éthique des biotechnologies plus précisément sur des sujets en pleine émergence tels que les biobanques, la recherche sur les cellules souches, le clonage, la recherche en génétique des populations, la pharmacogénomique et la santé publique. Avant de poursuivre des études en droit, Mme Knoppers a complété une maîtrise en littérature comparée à l'Université d'Alberta. Elle détient son doctorat en droit de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

Trois doctorats Honoris Causa en droit lui ont été décernés: des universités de l'Alberta en 2008, MacMaster en 2007 et de Waterloo en 2001. Elle a également obtenu un doctorat Honoris Causa en médecine de l'Université de Paris V en 2002. Mme Knoppers a reçu, en 2002, le titre d'Officier de l'Ordre du Canada.

Directrice du programme de bioéthique au FLASCO (faculté sud-américaine de science sociale)

Florencia Luna, M.A, Ph D. Chercheuse principale au CONICET (Conseil national de la recherche scientifique et technologique), Argentine.  Directrice du programme de bioéthique de la FLACSO (Université latino-américaine des sciences sociales). Président de l'Association internationale de bioéthique (IAB) (2003-2005).  Experte pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et membre du comité scientifique et consultatif (STAC) du département de recherche sur les maladies tropicales (TDR) de l'OMS (2011-2014).  Elle a également publié des articles dans des revues nationales et internationales. Auteur de plusieurs ouvrages, dont Bioéthique et vulnérabilité : A Latin American View (2006).

Partenaire fondateur de Conexkt - Chercheur affilié à l'Institut d'éthique biomédicale et d'histoire de la médecine, Université de Zurich

Le Dr Johann A R Roduit est un partenaire fondateur de Conexkt, une agence internationale d'innovation, et un chercheur affilié à l'Institut d'éthique biomédicale et d'histoire de la médecine de l'Université de Zurich. Il a terminé sa thèse de doctorat sur l'éthique de l'amélioration de la condition humaine. Ses intérêts de recherche comprennent l'amélioration humaine et morale, la bioéthique, le transhumanisme, l'éthique de la vertu, l'éthique des grandes données et l'éthique de l'intelligence artificielle.

Directeur du centre de bioethique de la Monarch University

Le professeur Michael Selgelid est le directeur du Centre de bioéthique de Monash (anciennement nommé Centre de bioéthique humaine), et il fournit aussi régulièrement des conseils d'experts à un certain nombre d'organismes internationaux, dont l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'année dernière, le professeur Selgelid a été chargé de rédiger un livre blanc pour le gouvernement américain sur l'éthique de la "recherche à gain de fonction", et en 2016, il a contribué aux discussions relatives à la réponse au virus Zika en Amérique latine avec l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS).
Monash Arts s'est entretenu avec lui de son travail et de la façon dont la bioéthique et les considérations éthiques jouent dans les crises sanitaires à grande échelle.

Directeur du centre de bioethique de la Monarch University

Mme Marie-Josée Simoen était également jusqu'en 2008 la secrétaire générale du Fonds de la Recherche Scientifique - FNRS belge (F.R.S.-FNRS) et de ses Fonds associés (1988 -2008) : −Institut Interuniversitaire des Sciences Nucléaires (I.I.S.N.) −Fonds de la Recherche Scientifique Médicale (F.R.S.M.) −Fonds de la Recherche Fondamentale Collective d'initiative des chercheurs (F.R.F.C.) −Fonds pour la Formation à la Recherche dans l'Industrie et l'Agriculture (F.R.I.A.)

Stéphanie Dagron est professeure de droit à l'Université de Genève, où elle enseigne le droit international de la santé et de la sécurité sociale. Elle a une double affectation à la Faculté de droit et à la Faculté de médecine et elle est rattachée à la fois au Global Studies Institute et à l'Institut de santé globale. Depuis septembre 2022, elle est également directrice du Master of science en santé globale.

Prof Jane Kaye is the Director of the Centre for Law, Health and Emerging Technologies (HeLEX) in
the Faculty of Law at the University of Oxford and also has a Professorship at Melbourne Law School
at the University of Melbourne, Australia.  Professor Kaye obtained her degrees from the Australian
National University (BA); University of Melbourne (LLB); and University of Oxford (DPhil). Her
research team consist of lawyers and sociologists who use mixed-method empirical approaches to
explore the relationships between law, governance and best practice in the field of emerging
technologies in health. The main focus of Professor Kaye’s research is on digital technologies,
personalised medicine, biobanks, privacy, informational governance, dynamic consent and
translational research. She has worked with colleagues to secure a total of UK£95m in grants in
interdisciplinary projects and has personally been awarded >£6M. Professor Kaye is the lead PI on
the AIDE project, which is identifying ways to engage stakeholders in the implementation of AI in
healthcare (ESRC 2019-23). She has published two books, 165 articles and 6 commissioned policy
reports for the Welcome Trust, the European Commission, and the Australian Commonwealth
Government. She is on a number of scientific advisory boards and editorial boards.

Stéphanie Perruchoud est une éthicienne et philosophe suisse. Après une thèse doctorale sur la place de l'homme dans la nature centrée sur les travaux de Merleau-Ponty, elle s'est spécialisée dans le domaine de l'éthique de la vulnérabilité et plus précisément sur la notion de corps vulnérable. Elle a ainsi présenté avec succès plusieurs projets sur le vieillissement et le handicap pour lesquels elle a reçu, entre autres, la prestigieuse bourse Actions Marie-Curie. Elle travaille actuellement comme chargée de recherche au Centre interdisciplinaire de recherche en éthique (UNIL) sur un projet étudiant l'interaction entre un robot social et une personne âgée dans une institution de soins de longue durée au niveau anthropologique et éthique (IPARC financé par la Fondation Leenaards et PASOR financé par le Fonds National Suisse).

Dernier article sous presse : " Relire anthropologiquement et éthiquement l'interaction entre un robot social (Paro) et une personne âgée en EMS ".

Eric Racine, Ph.D., est titulaire de la Chaire d'éthique vivante de l'IRCM, membre de l’Académie
canadienne des sciences de la santé et directeur du nouveau Réseau de recherche sur les savoirs citoyens
et les approches cocréatives (RéSCits) du Fonds de recherche du Québec. Il est professeur titulaire de
recherche à l'Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) et à l'Université de Montréal, directeur
de l'unité de recherche en éthique pragmatique de la santé et professeur invité à l'Université McGill.
Eric Racine est un chercheur en bioéthique avec des contributions reconnues au développement de la
neuroéthique et de l'éthique pragmatiste. Il est l'auteur de plus de 225 publications évaluées par des
pairs et de plusieurs livres, dont une nouvelle monographie The Theory of Deliberative Wisdom publiée
chez MIT Press (2025). Il a offert près de 200 conférences invitées dans une vingtaine de pays. Il a siégé
sur des comités de nombreuses institutions dont actuellement le conseil d'administration de la Société
internationale de neuroéthique. Inspirée par le pragmatisme philosophique, ses recherches visent à
mettre au premier plan l'expérience vécue de situations éthiquement problématiques par les patients et
les parties prenantes, puis à les résoudre de manière collaborative par le biais de processus délibératifs
et fondés sur des données probantes tels que des laboratoires vivants et des projets de recherche-action
participative

Hilde Stevens est professeure associée à l'Université Libre de Bruxelles (ULB), professeure invitée à
l'Université de Louvain (KU Leuven) et à la Vrije Universiteit Brussel (VUB), et codirectrice de l'Institut
pour l'innovation interdisciplinaire dans les soins de santé (I3h). Hilde enseigne à la Faculté de
médecine et à la Solvay Brussels School of Economics and Management, coordonne le programme
interdisciplinaire en innovation dans les soins de santé (avec 140 participants annuels dans les
universités belges) et codirige le Master avancé en Biotech & Medtech Ventures à Solvay Lifelong
Learning.
Les recherches de Hilde portent sur l'amélioration de l'accès à des soins de santé abordables,
l'exploration de modèles d'innovation collaboratifs, la propriété intellectuelle et les mécanismes
d'accès aux médicaments pour les maladies négligées. Elle s'intéresse particulièrement à la
gouvernance et à la performance des partenariats public-privé dans l'accélération du développement
de thérapies innovantes.
Hilde est cofondatrice d'EUPATI.be, la plateforme belge pour patients, dont elle a été trésorière et
vice-présidente. Hilde est titulaire d'une maîtrise en sciences biomédicales (Université de Gand), en
gestion générale (Vlerick Business School) et en droit de la propriété intellectuelle (HUB-KU Brussel),
ainsi que d'un doctorat en sciences biomédicales de la KU Leuven. Elle est certifiée en économie et
politique de la santé (London School of Economics), en santé mondiale (Université d'Utrecht) et en
apprentissage ouvert en réseau (Institut Karolinska, Lunds Universitet, Université Linnaeus). Hilde a
travaillé comme consultante scientifique et a été ingénieure en brevets pendant plusieurs années.